Les koïs ont des exigences élevées
Si vous avez décidé d’élever des koïs pour mettre en valeur votre jardin, vous devez savoir qu’ils ont des exigences très élevées par rapport aux autres poissons de bassin. Les koïs ont besoin de beaucoup d’espace, d’une eau de bonne qualité et d’une nourriture de qualité.
Si ces conditions ne sont pas réunies, les animaux ne peuvent pas se développer sainement, et ils sont plus sensibles aux maladies et aux parasites tels que la pourriture des nageoires ou les vers.
Conseils importants pour la création d’un bassin pour koïs
Un bassin à koïs doit avoir un volume d’au moins 5 000 litres plus 1 000 litres pour chaque poisson et une profondeur d’au moins 1,5 mètre. En outre, il doit être au moins partiellement ombragé et équipé d’un filtre de bassin suffisamment puissant.
La température moyenne de l’eau dans le bassin à koïs doit être de 15 à 20 degrés Celsius. En hiver, la température ne doit pas descendre en dessous de quatre degrés Celsius. En été, il est important de veiller à ce que la température de l’eau du bassin ne dépasse pas 26 degrés.
En ce qui concerne la plantation, il est conseillé de choisir des plantes aquatiques aussi stables ou inaccessibles que possible pour les poissons. En effet, les koïs sont omnivores et peuvent manger les plantes du bassin avec délectation.
Les koïs ont le sang froid.
Comme tous les poissons, les koïs sont aussi des animaux à sang froid. Cela signifie qu’ils ne peuvent pas réguler leur température corporelle comme le font les humains. Lorsqu’il fait froid, leur température corporelle diminue, et lorsqu’il fait chaud, elle augmente en conséquence.
Par conséquent, les koïs sont beaucoup plus actifs pendant les mois chauds que lorsqu’il fait froid. En automne, les animaux deviennent plus léthargiques et leur activité métabolique diminue.
Adapter l’alimentation des koïs aux saisons
Il est très important pour la santé des poissons de tenir compte des températures dominantes lors de l’alimentation. Au printemps et en automne, par exemple, vous devez utiliser des aliments pour koïs particulièrement digestes.
Sinon, comme les températures baissent souvent considérablement la nuit, les carpes koï risquent de ne pas pouvoir digérer correctement la nourriture, et celle-ci peut commencer à pourrir dans les intestins. La nourriture pour koïs pour l’été, en revanche, peut fournir aux poissons beaucoup d’énergie afin qu’ils aient des réserves suffisantes pour l’hiver.
Outre le type, il est également important d’adapter la quantité de nourriture aux saisons. Si les koïs peuvent encore être nourris plusieurs fois par jour en été lorsque la température de l’eau est de 16 degrés et plus, ils ne devraient être nourris qu’une fois par jour lorsque la température de l’eau est de 15 degrés et moins. Enfin, si la température de l’eau en hiver descend en dessous de huit degrés, vous pouvez même arrêter complètement l’alimentation.
Une nourriture de haute qualité pour les koïs, pour des habitants du bassin en bonne santé
Pour assurer une croissance saine et réduire le risque de maladies, les propriétaires de bassins de koi doivent toujours utiliser des aliments pour koi de haute qualité, comme les produits KI-JA-KO.
La nourriture est disponible en différentes variantes. Il existe entre autres une nourriture spéciale pour koï pour l’automne et le printemps, pour une pigmentation intensive ou des produits pour soutenir de manière optimale la croissance des jeunes poissons.
Tous les aliments KI-JA-KO se caractérisent par des ingrédients de haute qualité et une composition soigneusement adaptée aux besoins des carpes koï. Avec KI-JA-KO, rien ne s’oppose à un approvisionnement optimal tout au long de l’année de ces nobles habitants des bassins.
Établie en juillet 2005, la nomenclature Dintilhac porte le nom du magistrat de la Cour de Cassation qui présidait le groupe de travail d’élaboration. Ce référentiel vise à mieux guider les praticiens de l’indemnisation des préjudices. Pour cela, il regroupe les différents postes d’indemnisation selon des définitions pouvant être généralement partagées. Tout comme expliqué 
Les différents postes de préjudices de la nomenclature Dintilhac recouvrent plusieurs éléments afin d’indemniser la victime d’accident de la route. Pour ce qui concerne exclusivement les préjudices corporels de la victime directe, on peut distinguer les préjudices patrimoniaux et ceux extrapatrimoniaux.